Les composants qui font d’un oriflamme un produit publicitaire de qualité

De la base du Wind Flag au sommet du drapeau publicitaire, la composition d’un oriflamme regroupe plusieurs éléments. Chacun à son rôle à jouer et doit être soigneusement choisi pour que l’ensemble du produit soit solide, visuellement attractif et facile à monter et à transporter.

Mais l’objet publicitaire doit aussi bien correspondre au message personnalisé que l’entreprise souhaite faire passer et s’adapter au lieu où il sera placé. C’est pourquoi les composants majeurs de l’oriflamme (voile, mât et pied) se déclinent en plusieurs versions. De même, les différents accessoires qui font la jonction entre ces éléments ont des fonctions bien précises et contribuent à faire de l’oriflamme un produit publicitaire qualitatif.

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Les différents éléments de composition de l'oriflamme

Le drapeau textile pour afficher son entreprise

La voile de l’oriflamme est le support du visuel de communication. Fabriquée en tissu, elle est disponible avec des grammages divers qui la rendent plus ou moins résistante. Elle doit être suffisamment robuste pour résister aux rafales de vent, mais aussi garder un minimum de transparence pour que l’on ait un aperçu du message publicitaire imprimé des deux côtés. Lorsque l’on souhaite un visuel parfaitement lisible, quel que soit l’angle de vue, on peut aussi opter pour une voile avec impression recto verso.

La gamme des drapeaux publicitaires se compose de 3 modèles principaux  :

  • La forme goutte, bien adaptée pour une communication à base de logos arrondis, de couleurs et d’une faible quantité de textes.
  • La voile rectangle offre de nombreuses possibilités pour faire la promotion de ses produits ou d’un événement et créer des visuels personnalisés grâce à une grande surface d’impression et une forme qui impose peu de contraintes.
  • Le drapeau trapèze, assez semblable au rectangle, donne un peu plus de style à l’oriflamme tout en permettant une assez grande liberté dans le visuel publicitaire.

En ce qui concerne le format de la voile, on trouve des produits de toutes sortes : de 50 cm à 5 m, avec une grande majorité d’oriflammes mesurant entre 2,5 et 4 mètres. La taille du Beach Flag doit dépendre de sa localisation (intérieur ou extérieur, stand entouré d’autres exposants ou isolé) et des caractéristiques de l’impression sur la voile publicitaire.

Le mât pour maintenir le Beach Flag à la verticale

Afin que le drapeau de l’oriflamme tienne debout, on l’insère dans un mât. Ce dernier peut être conçu en matériaux divers, mais c’est l’aluminium qui est privilégié, car il est flexible, ne rouille pas, et est peu cher. Toutefois, son embout est souvent renforcé à l’aide de fibre de verre, afin de pouvoir l’insérer plus facilement dans le fourreau de la banderole et de lui garantir une forme plus élégante.

Le mât de l’oriflamme est un composant facile à transporter du fait de sa légèreté. De plus, la majorité des mâts sont télescopiques, ce qui permet de le rétracter pour le ranger dans le sac de transport avec le drapeau publicitaire.

La fixation à l’aide des pieds d’oriflammes

Le pied d’un oriflamme est la partie du produit en contact avec le sol. C’est lui qui permet au Beach Flag d’être stabilisé et de ne pas se déplacer, malgré le vent. Il en existe de toutes sortes, convenant à des situations bien précises : les pieds en béton ou à lester pour les grands drapeaux en extérieur, les pieds platine ou en croix pour les salons en intérieur, les pieds à planter pour les oriflammes à placer sur une pelouse ou dans du sable, etc.

Le choix du pied est primordial, à la fois pour des raisons de sécurité et de pratique : certains sont plus faciles à transporter, d’autres sont plus robustes et d’autres moins encombrants. L’intérêt des pieds d’oriflammes est qu’au sein d’une même gamme, ils sont compatibles avec tous les mâts : il est ainsi possible de garder un pied, mais de changer la hauteur de son mât ou de choisir une autre base pour son oriflamme si l’on souhaite le placer ailleurs.

Faciliter la rotation de la voile

On le sait, le vent est dangereux pour l’oriflamme : il tend à le faire tomber ou vaciller et à effilocher la voile. Mais c’est aussi l’élément qui donne au Beach Flag publicitaire son intérêt puisqu’en le faisant se mouvoir, il attire l’attention sur les informations imprimées sur la voile. Il faut donc apprivoiser le vent, pour en faire un avantage, en intégrant un rotor dans la composition de votre oriflamme. Ce dispositif, inséré dans le pied, permet au mât de faire des rotations pour prendre le sens du vent. Ainsi, la voile ne s’enroule pas sur elle-même et offre moins de résistance aux bourrasques, ce qui allonge considérablement sa durée de vie.

Même si toutes les entreprises ne proposent pas encore cet accessoire, le rotor représente un avantage certain, d’autant qu’il ne rend pas le montage de l’oriflamme plus difficile et n’alourdit pas excessivement le pied.

L’embase : le lien entre le rotor et le pied

L’embase d’un oriflamme peut être utilisée comme synonyme de pied. On parle alors d’embase carrée ou d’embase en croix par exemple. Ce terme reste usité pour des pieds à placer sur le sol en intérieur, plutôt que pour des pieds à planter ou de type parasol.

Cependant, si l’on souhaite être plus précis, on dira plutôt que l’embase est la partie sur laquelle est fixé le rotor. C’est dans ce cas un composant du pied de l’oriflamme, positionné sur le dessus et de forme cylindrique. Il est généralement directement intégré dans le pied, surtout pour les modèles en métal ou en béton. En ce qui concerne les pieds en plastique (de type lestable ou à planter), il peut aussi être vissé à l’intérieur du pied et démontable.

Assurer le maintien à l’aide d’une sangle

La sangle de l’oriflamme, parfois appelée fourreau, correspond à la partie située sur le côté de la voile imprimée, qui constitue une sorte de housse pour le mât. En effet, on l’y insère pour faire tenir le drapeau et lui donner sa forme plus ou moins arrondie. À l’impression, la sangle n’est pas intégrée dans le visuel, car elle est conçue dans un textile plus résistant et épais que la voile, afin de ne pas être abîmée par le mât. On trouve néanmoins de plus en plus d’options permettant d’avoir un fourreau personnalisé, soit à la couleur prédominante du visuel, soit sur lequel on imprime directement le visuel.

Parfois, on utilise aussi le terme de sangle pour désigner la partie reliée au drapeau publicitaire que l’on vient tendre et attacher à un crochet sur la partie basse du mât. Dans ce cas, la fonction de la sangle est de tendre la voile pour qu’elle reste bien en place et que l’on puisse clairement voir l’impression.

Suspendre son oriflamme à l’aide d’une potence

Les oriflammes ne sont cependant pas toujours placés à la verticale et fixés à l’aide d’un mât et d’un pied. Dans certains cas, on peut suspendre son drapeau le long d’un mur ou d’un poteau. Pour cela, on utilise la potence d’oriflamme, composée de deux ou trois barres métalliques à placer perpendiculairement au support, à l’aide de vis ou de sangles. C’est un produit publicitaire assez semblable à un pavillon, qui est largement utilisé en centre-ville ou dans les zones commerciales. Il dispose effectivement de plusieurs avantages :

  • Elle évite d’encombrer le trottoir ou un stand.
  • Le drapeau peut rester accroché de jour comme de nuit, avec un risque minime de se le faire voler.
  • Ce système permet de suspendre des drapeaux personnalisés de grand format, qui sont correctement tendus grâce aux barres qui les maintiennent.

Conclusion : s’assurer de la qualité d’un oriflamme

Tous les composants du Beach Flag publicitaire sont importants et méritent qu’on prenne le temps de les choisir. Si l’on veut déterminer la qualité d’un oriflamme, il faut être attentif aux matériaux utilisés pour chacun d’entre eux, afin d’obtenir un produit fini captivant et pérenne :

  • La voile doit disposer d’une densité textile d’au moins 110g/m² et comporter des renforts au niveau du fourreau.
  • Il est nécessaire que l’impression du visuel soit effectuée en sublimation, pour une bonne tenue dans le temps, des couleurs qui ressortent et une résistance à l’eau (pour ne pas qu’elle s’abîme à cause de la pluie ou des lavages successifs).
  • Il faut choisir un mât qui ne soit pas constitué uniquement d’aluminium et rétractable pour le transporter aisément.
  • Le pied doit être sélectionné en fonction de l’occasion pour laquelle l’oriflamme est exposée et si possible disposer d’un rotor.
  • La sangle de tension de la voile doit être résistante et ajustable.
  • Il faut aussi prêter attention à la qualité des accessoires de l’oriflamme (vis, embouts en plastique, matériel de transport, etc.).

Ainsi, même si le Beach Flag est un produit publicitaire répandu, rapide à installer et au prix peu élevé par rapport à la qualité qu’il offre en termes de communication visuelle, cela ne veut pas dire que l’on peut choisir son modèle les yeux fermés. En respectant les quelques règles citées ci-dessus et en prenant connaissances des commentaires et avis sur les produits qui vous intéressent, vous avez la garantie d’avoir un oriflamme qui résistera aux intempéries et d’effectuer une communication ayant un impact significatif.

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