Comment reconnaître un oriflamme de premier choix ?

Pour juger de la qualité d’un Beach Flag, il faut prêter attention à chacun de ses composants. Chaque détail a son importance et permet de dire si l’objet publicitaire pourra répondre aux besoins de l’entreprise pour sa communication, tout en étant assez résistant pour être réutilisé à plusieurs occasions.

Il faut bien sûr s’intéresser aux éléments majeurs de l’oriflamme publicitaire que sont le pied, le mât et la voile, car ce sont eux qui servent de support au visuel et de stabilisation. Néanmoins, tous les accessoires de l’oriflamme (élastique de tension de la voile, rotor, etc.) doivent aussi être minutieusement inspectés pour s’assurer de leur solidité et de la finition du produit.

Les critères à respecter pour un oriflamme de qualité

La résistance et la durabilité des matériaux

Pour ce qui est de l’embase, elle doit être fonction de la situation et du format du drapeau. Par exemple, le pied en croix est de bonne facture et suffisamment lourd et résistant pour un stand en intérieur ou sous une tente, mais donnera une impression plus bas de gamme avec un grand oriflamme exposé au vent. Dans tous les cas, on évitera les pieds en plastique bas prix, qui risquent de se détériorer.

Concernant les mâts, on privilégiera plutôt des structures en aluminium, qui ont l’avantage d’être flexibles. Toutefois, il est recommandé de faire attention à l’extrémité du mât : la finition doit être en fibre de verre pour obtenir une meilleure courbure, un coulissement plus facile dans le fourreau ainsi qu’une meilleure tension de la voile pour qu’elle reste droite.

Par ailleurs, il faut que la voile puisse résister à toutes conditions météorologiques. D’abord, la densité doit être d’au moins 110 g/m² pour que le textile ne s’abîme pas face au vent. Ensuite, il est recommandé d’opter pour une impression à l’encre UV, surtout pour les drapeaux publicitaires en extérieur. La finition de la voile est également très importante, aussi bien sur sa partie latérale (avec une coupe à chaud ou une double couture pour éviter l’effilochage) qu’à la terminaison du mât avec un renfort afin qu’il ne passe pas à travers la banderole.

Les éléments à respecter pour une communication visuelle efficace

La qualité d’un objet publicitaire ne dépend pas que de caractéristiques techniques, mais aussi de sa capacité à diffuser un message attractif et percutant, comme le ferait une brochure publicitaire, une affiche ou un flyer.

Pour obtenir un oriflamme de qualité, il est donc primordial de s’attarder sur le visuel et les propriétés du fichier d’impression. Il faut penser aux choix des couleurs, à la typologie et à la taille de caractères pour que le message soit clair et lisible, sans mettre trop d’informations, car les oriflammes publicitaires n’ont pas vocation à être lus avec une grande attention. Pour être plus impactant et compréhensible, il est possible d’opter pour un drapeau imprimé en recto verso.

De même, le visuel doit respecter un certain niveau de qualité, d’au moins 50 dpi. Il n’est pas nécessaire de dépasser les 80 dpi, car la voile n’est pas un support permettant une impression de grande résolution.

Enfin, comme le Beach Flag est un outil efficace grâce à sa mobilité, les produits à rotor qui laissent au mât la liberté de pivoter sont conseillés.

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